Le fait que de plus en plus d’entreprises optent pour le cloud génère de la complexité, en particulier parce que cela génère des architectures de plus en plus distribuées et donc une complexité plus élevée dans les processus relatifs aux applications. Ce qui rend plus difficile une vision unifiée des niveaux de performances des infrastructures.
Selon l’étude « The State of Observability » de VMware, 89 % des entreprises interrogées considèrent les applications actuelles bien trop complexes et une proportion similaire éprouve des difficultés à assurer la supervision de leurs environnements cloud en raison de problématiques liées aux capacités d’observabilité et d’analyse.
« La surveillance est devenue impossible sans l’observabilité. Les approches et les outils traditionnels ne sont plus cohérents. En un an, force est de constater que la donne a changé et que l’écosystème est entré dans une ère où l’observabilité ne cesse de gagner en pertinence et en importance », soulignent les auteurs de l’étude, pour qui « seule l’observabilité offre une visibilité sur l’ensemble de la pile informatique, de l’état des applications et du statut des infrastructures sous-jacentes et il est impossible de parvenir à un tel résultat uniquement avec des outils de supervision classiques. »