Le Groupe APICIL et Mozart Consulting ont mesuré le niveau de bien-être au travail, avec un focus sur les entreprises du numérique.
Ce « secteur souvent associé dans l’imaginaire collectif à un environnement décontracté des start-up, synonyme de bien-être au travail, mais qui révèle un IBET de 0,73 (en baisse de 1 point par rapport à l’année dernière) », révèle l’étude. Cet indice mesure « l’engagement socio-organisationnel » des salariés. Lorsqu’il est inférieur à 0,55, c’est le chaos, lorsqu’il est supérieur à 0,90, c’est très bon signe.
Le coût moyen annuel du mal-être au travail, par salarié et par an, est estimé à 14 580 euros. Le secteur du numérique est au niveau « dégradé » mais n’est pas le pire : le commerce, les transports, les médias et la santé sont des secteurs avec de forts taux de désengagement.