1. La tendance. Les infrastructures doivent s’adapter face aux besoins des métiers, aux exigences d’agilité et à la diversification des usages.
2. La complexité augmente. La cohabitation d’applications virtualisées et non virtualisées dans les datacenters contribue à augmenter le degré de complexité des systèmes d’information. Une complexité aggravée par le cloud computing…
3. Les flux de données. Les DSI doivent gérer une nouvelle complexité liée à l’hétérogénéité des flux de données, qui proviennent de serveurs locaux, d’applications hébergées dans le cloud privé ou dans le cloud public.
4. De l’hybride partout. Les systèmes d’information sont de plus en plus bâtis sur des bases mêlant des solutions traditionnelles, des applications et des serveurs virtualisés, le cloud privé et le cloud public. Maîtriser ces différents environnements impose un nouveau modèle de gouvernance et de pilotage.
5. La virtualisation s’étend. L’évolution des périphériques est passée des périphériques physiques aux périphériques virtuels, et aux SDDC (Software defined data centers).
6. Des nouveaux services. Les technologies cloud font émerger de nouvelles formes de services, hybrides entre l’hébergement managé, l’externalisation de datacenters, la gestion d’infrastructures à distance et la TMA.
7. L’exigence de pilotage. Quels que soient les modèles d’infrastructures, et en particulier les modèles hybrides, la maintenance, la sécurité et le pilotage doivent être assurés à tous les niveaux, éventuellement avec des services managés.
8. Les besoins. Les entreprises qui recourent aux infrastructures cloud managées ont généralement trois types de besoins : un provisionnement rapide mais pas en temps réel, des capacités flexibles mais avec des variations relativement faibles, et des services managés pour les infrastructures, pour privilégier la réactivité.
9. Un nouveau marché. Entre les hébergements managés classiques et l’externalisation complète des datacenters, un nouveau émerge, celui de l’infrastructure cloud managée, qui a les principales caractéristiques suivantes : l’infrastructure est située n’importe où, elle est gérée par le fournisseur, le personnel n’est pas transféré, l’infrastructure n’est pas ou peu personnalisée, la disponibilité est régie par des engagements de services.
10. Le chiffre. À l’horizon 2017, la moitié des grandes entreprises auront effectué des déploiements dans le cloud hybride, selon Gartner (étude : « Private Cloud Matures, Hybrid Cloud Is Next »).