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- La combinaison de plusieurs savoir-faire, à la fois techniques et créatifs : pour prendre en compte aussi bien les problématiques d’industrialisation que les enjeux en matière d’expérience utilisateur, l’idéal est de miser sur un partenaire disposant d’expertises aussi bien en informatique d’entreprise qu’en communication et graphisme.
- La mise à disposition d’architectures préétablies : un prestataire ayant bien compris les enjeux d’industrialisation des projets atour des objets connectés pourra faire bénéficier ses clients de son expérience en leur proposant un socle technique solide, capable de prendre en charge les aspects liés à la sécurité ou à l’interopérabilité. L’existence de tels cadres permet aussi d’accélérer les projets, sans sacrifier au passage les exigences de l’architecture d’entreprise.
- Une culture de co-innovation avec les clients : sur des sujets émergents comme les objets connectés, la co-innovation est une approche gagnante tant pour le partenaire que pour ses clients. Ces derniers bénéficient ainsi d’une vision extérieure qui peut les aider à mieux identifier les idées réellement innovantes, tandis que le partenaire enrichit son expertise en développant des solutions directement avec les opérationnels. La co-innovation peut également signifier un co-investissement, ce qui permet aux différents acteurs de disposer de davantage de moyens pour explorer les nombreuses pistes possibles.
- Des méthodes de travail agiles : en combinant des cycles courts et des approches itératives, les méthodes agiles favorisent l’expérimentation, et par là-même l’innovation. Appliquées aux projets autour des objets connectés, elles permettent d’explorer rapidement différentes hypothèses afin d’identifier celles qui marchent.