Open innovation : l’état de l’art

Selon une étude réalisée par l’EBG, à partir des travaux d’une Task Force de vingt professionnels, plusieurs bonnes pratiques participent au succès d’une démarche d’Open Innovation.

  • Constituer une cagnotte, pour engager financièrement les différentes parties prenantes.
  • Définir un pacte pour garantir que chacun consacre le temps nécessaire au projet.
  • Chiffrer les besoins RH, pour disposer des bonnes compétences.
  • Veiller aux sponsors internes.
  • Prendre de la distance par rapport au rythme des affaires.
  • Considérer que l’Open Innovation est un cercle vertueux.
  • Ne pas rester trop modeste.
  • Se confronter aux cibles métiers.
  • Tirer parti du quotidien pour alimenter les autres parties prenantes.
  • Mettre toutes les idées par écrit.
  • Rester méthodique, l’agilité ne doit pas conduire à faire n’importe quoi.
  • Élaborer une grille de maturité pour mesurer les progrès.
  • S’assurer de l’appui du Comex.
  • Apprendre à pitcher, en interne et en externe.
  • Se méfier des lieux communs (par exemple « pour innover, il faut obligatoirement travailler avec des start-up »).
  • Se détacher des technologies pour se concentrer sur les usages.
  • Cultiver les écosystèmes.

Lien : www.ebg.net
Source : L’Open Innovation à l’épreuve du terrain, EBG, GFI.